Retraite couple en espérance d’enfants à Chézelles (37) du 6 au 8 avril 2018

Retraite couple en espérance d’enfants à Chézelles (37) du 6 au 8 avril 2018

Avec Notre-Dame et Saint Joseph

Les 6-8 avril 2018, à L’Ile-Bouchard (Maison d’Accueil de Chézelles) se déroule un week-end pour les couples en espérance d’enfants, organisé par Amour & Verité, mission de la Communauté de l’Emmanuel. Véronique Cortyl est responsable avec son mari Emmanuel de la pastorale des couples en espérance d’enfants pour Amour et vérité. Ils participent à l’animation de cette rencontre. Interview.

Informations pratiques

Pour qui ?

Les couples mariés depuis quelques années qui n’ont pas encore d’enfants. Conférences, échanges, témoignages, Eucharistie et prière permettent à chacun d’être accueilli là où il
en est, quels que soient son passé, sa foi ou sa recherche.

Qui anime ?

Des couples ayant traversé cette épreuve, un médecin, une consacrée et un prêtre.

Où ?

Maison d’accueil de Chézelles, 6 place de la Mairie, 37220 Chézelles.

Quand ?

Du samedi 09h00 au dimanche 16h00 (accueil dès le vendredi soir de 20h00 à 23h00).

Qu’apporter ?

(possibilité de louer sur place) Draps pour lit simple, serviettes de toilette.

Quel tarif ?

230€ par couple.
Les questions financières ne doivent pas vous empêcher de participer au week-end. N’hésitez pas à nous contacter.

Contact

Emmanuel & Véronique CORTYL
06 59 48 71 07

En quoi consiste ce week-end « Espérance d’enfant » ? 

Il permet aux couples qui n’arrivent à avoir d’enfants de se poser et de prendre le temps d’aborder cette question. L’hypofertilité touche aujourd’hui 1 couple sur 7, c’est un lieu de souffrance peu abordé dans la société, et il n’y a pas beaucoup d’autres endroits de ce genre dans l’Eglise pour se sentir rejoints et écoutés, ce dont ces couples ont grand besoin. De fait, ils se retrouvent très souvent seuls face à leur souffrance.

Quels sont les sujets abordés ?

Plusieurs enseignements sont donnés : les fécondités dans la Bible, le projet de Dieu pour le monde et pour notre couple, afin de se rappeler l’amour et la compassion de Dieu pour chacun d’entre nous. Mais aussi un enseignement sur la souffrance : comment vivre avec et la dépasser, ce qui permet de mettre des mots sur elle. Cela permet de reconnaître celle de son conjoint, car souvent l’un et l’autre souffrent différemment et de se rendre compte où en est l’autre. On apprend aussi à se protéger des remarques ou situations blessantes que l’on peut rencontrer dans la vie quotidienne. De plus, un troisième enseignement permet de se demander « jusqu’où aller avec la médecine ? » : les enjeux de bioéthique. Cela permet aux couples d’être éclairés sur les questions sur lesquelles ils sont confrontés. C’est l’occasion de présenter la naprotechnologie comme une méthode, non de substitution, mais de restauration de la fertilité (voir ici), avec une vision globale de la personne, fondée sur un diagnostic très précis et approfondi, et sur des techniques médicales très pointues.

Sont aussi prévus des groupes de partage pour parler librement de cette question (hommes et femmes séparés), des temps en couple, une veillée miséricorde et témoignages, un moment de recueillement devant les reliques des saints Louis et Zélie Martin. Enfin, le sacrement des malades peut être proposé, avec le discernement d’un prêtre, tandis qu’une équipe est disponible tout au long du week-end pour répondre aux questions de chaque couple. Et bien sûr, des temps de prière (messe, adoration, louange).

Quels témoignages recevez-vous ?

A chaque fois qu’on recroise ces couples par la suite, leurs vies ont changé, on les trouve rayonnants quels que soient leurs chemins. Il y a un avant et un après, ils repartent le cœur léger, ils comprennent que la souffrance n’empêche pas de choisir la vie. Beaucoup sont touchés que l’Eglise les accueille, ils se sentent « moins tarés » nous disent-ils parfois, et cela leur permet aussi de se créer de nouvelles amitiés localement. – Que peut-on faire vis à vis d’un couple qui vit cela dans notre entourage ? S’intéresser au couple pour ce qu’il est, en mettant en valeur leurs qualités,  valoriser leurs dons, leur demander un service en rapport avec ce don, pour qu’ils ne sentent pas réduits à leurs difficultés ; lorsqu’ils habitent dans une même ville, les inviter à voir du beau (concerts, spectacles, etc.) à travers des temps gratuits organisés pour eux, qui ont souvent « le nez dans le guidon ». Car le beau les relève ! Et bien sûr, prier et faire prier pour eux, comme par exemple avec des neuvaines, ou en donnant leurs noms à la paroisse de Saint Colette (Paris 19e), où une messe est dite à leur intention une fois par mois.

Ce week-end s’adresse aux couples mariés depuis quelques années qui n’ont pas encore d’enfants. Révoltés ou confiants, ils s’interrogent sur cette attente.

Les conférences, les échanges, les témoignages, l’Eucharistie et la prière permettent à chacun d’être accueilli là où il en est, quel que soit son passé, sa foi et sa recherche, pour avancer dans la confiance et l’espérance.

Un grand merci pour ce week-end. Une bulle d’air, de compréhension. Une pause au milieu de la pression quotidienne. Une communication en couple plus aisée sur des sujets trop peu abordés ou évités. On repart un peu plus léger !” Marie

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