Nous posions la question à l’issue de la présidentielle : que restera-t-il des artisans du mariage pour tous après les législatives ?
Concrètement et sauf oublis (mineurs) il ne restera guère que Manuel Valls, si le recours demandé par la France Insoumise ne lui est pas défavorable. De gauche comme de droite, tous ont été balayé. Bruno Lemaire, réélu haut la main n’avait pas pris part au vote, mais ses positions n’en étaient pas pour autant très claires (voir notre analyse lors de la primaire). Les sénatoriales avaient déjà eu leur lot de départs, avec notamment l’éviction de son rapporteur farouche, Jean-Pierre Bel.
L’impression qui domine, si nous nous plaçons “entre terre et ciel”, est que l’artisan réel de cette poussée destructrice de l’Homme, ce démon dont la presse tout à coup voudrait voir l’Eglise nier l’existence, jette ceux dont il n’a désormais plus besoin.
Un procédé assez récurrent chez lui. La question est à présent, que compte-t-il faire de ses nouvelles marionnettes ?