Un lecteur nous communique :
« Les vrais Miracles font peu de bruit « disait déjà Antoine de SaintExupéry. Mais la réédition de cet ouvrage « Un Thaumaturge au XIXème Siècle Quelques traits de la vie du très révérend Père de Moll bénédictin ( 1824-1896) d’Edouard van Speybrouck est un véritable chemin semé d’espérance et de lumière. Toujours actuel « Pour Dieu, il n’y a ni passé ni futur, tout lui est présent. » aimait dire le moine à ses visiteurs de plus en plus nombreux au fil des années.
Achever d’imprimer le 11 juillet 2015, pour la fête de Saint Benoît, par les Editions Résiac (Montsûrs ), l’éditeur raconte pourquoi et comment il a décidé d’éditer ce livre ( 7ème édition augmentée). : « En ce mois d’avril 2015, nous avons eu la visite à Montsûrs de notre ami Roger, le célèbre chauffeur des vierges pèlerines, il nous a fait part de la faveur dont le Ciel l’a gratifié. Il devait subir une opération chirurgicale assez délicate concernant la clavicule gauche atteinte par une affection grave…C’est trop près du coeur, c’est donc trop dangereux…Dans une semi-conscience et sous anesthésie le Père Paul lui apparaît et lui annonce que c’est lui qui va l’opérer. Peu de temps après, plus d’infection, plus besoin d’opérer. Emerveillés par ce récit, nous avons voulu en savoir plus sur le Père Paul de Moll et c’est ainsi que notre ami Roger nous a remis ce livre entre les mains. »
De tous côtés, les personnes qui se sont adressées au Père Paul avec confiance, comme à un saint très puissant, signalent quantité de faveurs obtenues. Même après sa mort, sa tombe demeure féconde comme sa vie, et on peut dire que ce fils de Saint Benoît continue du haut du Ciel sa mission de consolateur, de guérisseur des corps et des âmes au nom du Seigneur Jésus-Christ.
Aujourd’hui, plus que jamais, il est utile de raviver le souvenir des merveilles que le Tout-Puissant daigne opérer par des instruments à l’apparence bien humble, auquel est forcé d’assister, malgré lui, notre siècle sceptique et railleur entre tous. Le Père Paul de Moll semait littéralement les prodiges sous ses pas. On évalue à plus d’un million les personnes qui reçurent de lui des bienfaits d’ordre spirituel ou matériel, naturel et surnaturel.
Ce moine bénédictin qui avait pour nom François Luyckx est à Milleghem-Moll le 15 janvier 1824. Il fut ordonné prêtre le 21 novembre 1858. Il restaura l’abbaye d’Afflighem en 1869, fonda le monastère de Steenbrugge en 1879 et fut rappelé à Dieu dans l’abbaye de terremonde le 24 février 1896.
Lorsqu’il y aura parmi vous un prophète, disait Jésus, c’est dans une vision que moi, l’Eternel, je me révélerai à lui. C’est dans un songe que le lui parlerai. Et cette mission de thaumaturge, le Père Paul l’a reçue du Sauveur en personne : « Au commencement de ma vie religieuse, étant malade au point de me voir condamné par la science, Notre-Seigneur m’apparut accompagné de la Sainte Vierge, de Saint Joseph, de Saint Benoît. Tandis que Marie me tenait la main, le Sauveur, posant sa droite sur ma tête, me dit Soit guéri ; désormais tu vivras pour la consolation d’un grand nombre de personnes. Je t’accorde tout ce que tu me demanderas pour les autres. Et je je fus guéri « .
Quelques-uns des faits prodigieux de la vie du Très Révérend Père Paul :
Un homme d’Oostcamp, ayant un cancer à la lèvre inférieure, demandait
sa guérison au Père Paul.
Le Père prit la lèvre entre le pouce et l’index et dit avoir enlevé le cancer.
Dés lors, le mal disparut.
Une demoiselle de 66 ans, habitant le grand Béguinage de Gand, avait un
cancer au sein. Elle se rendit en 1888 à Termonde et dit au Père Paul que le
médecin avait décidé une opération.
– Pas d’opération, répondit le Père, je prierai pour cela.
Le mal disparut peu à peu et, la demoiselle, qui nous rapporte elle-même ce
fait, se porte à merveille et parle du Père Paul avec la plus grande reconnaissance.
Une dame malade, demandant sa guérison au Père Paul, reçu cette réponse :
– Vous ne pouvez pas guérir, parce que vous vous opposez à la vocation de votre fille,
qui désire entrer au couvent.
Il arrivait parfois que, dans une réunion, le Poère Paul s’adressait à tél ou tél,
sans se faire entendre des autres personnes présentes.
Et il répondit aux questions qu’on lui faisait mentalement.
En 1875, la Rév. Mère Supérieure d’un couvent d’Anvers, étant jugée incurable par le
médecin, les religieuses s’adressèrent au Père Paul.
Voici sa réponse :
– La Mère Supérieure guérira après deux neuvaines et sera rétablie entièrement
pendant la troisième neuvaine. Ne faites plus venir le médecin.
Ces prédictions se sont réalisées.
Une campagnarde d’Oedelem demande la guérison de son enfant. Père Paul le
guérit et dit à la mère :
– Dans votre voisinage, il y a beaucoup d’enfants malades, dites aux parents de me les
amener, car ils ne peuvent guérir que chez moi.
Parlant de la France, Père Paul a dit que ce pays sera purifié par de grands châtiments.
La Bible, disait encore Père Paul, ne contient aucune erreur ; mais…Les hommes ne savent RIEN.
Même après sa mort, sa tombe demeure féconde comme sa vie : « DEMANDEZ-
MOI TOUT CE QUE VOUS VOUDREZ, JE VOUS L’OBTIENDRAI ; ET QUAND JE
SERAI AU CIEL, DEMANDEZ TOUJOURS, J’AURAI ALORS TOUT LE TEMPS DE
M’OCCUPER DE VOUS, ET MON POUVOIR SERA PLUS GRAND ENCORE.
Ce livre se termine sur une merveilleuse prière propagée par le Très Révérend Père Paul de Moll : SALUTATION ‘A MARIE. Père Paul disait à un ami que ceux qui récitent cette Salutation à Marie peuvent se figurer que la Sainte Vierge leur donne en réalité sa bénédiction.
Donnant un exemplaire de cette SALUTATION à une demoiselle, Père Paul lui dit textuellement :
« Cette SALUTATION est si belle ! Récitez-la chaque matin. Du haut du Ciel, la Sainte Vierge vous donnera sa bénédiction et vous ferez le signe de la Croix. Oui, oui, que ne vous est-il donné de voir ! La Sainte Vierge vous bénit alors, je le sais très bien « .
Il disait aussi qu’en récitant cette SALUTATION ‘A MARIE pour la conversion d’un pécheur, il est impossible de n’être pas exaucé.
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