Par Le pèlerinage des pères de familles aura lieu cette année les 16 et 17 mars prochains. En attendant, c’est un pèlerinage spirituel qui nous est proposé au travers de thèmes de réflexion, chaque semaine, jusqu’à la mi-mars.
C’est à la basilique Notre Dame des enfants de Châteauneuf qu’en 2004 quelques papas ont décidé d’arriver après deux jours de marche chrétienne, accompagnés par St Joseph et… par quelques prêtres disponibles. Ces pères de famille d’âges divers ont parlé de ce désir au Doyen de Bourges qui les a soutenus pour lancer la première édition de ce pèlerinage de laïcs, qui partait alors de l’église clunisienne de Plaimpied, au sud de Bourges (ce sera aussi le point de départ de cette XIVème édition).
Avec le succès tout simple des deux premières éditions (2005 et 2006), le pèlerinage s’est rapidement étendu à tout le Berry, et parfois à des pèlerins des départements limitrophes. Le point de départ a alors migré plus au centre, à Charost, à la limite entre les deux départements qui composent le Berry.
Cette année, le pèlerinage se tiendra le week-end précédent la Saint Joseph, les 16 et 17 mars prochains, sous son patronage, entre Plaimpied et Châteauneuf sur Cher. Mais il se déroule aussi en ce moment-même via le site internet diocésain, grâce à des méditations, visibles chaque vendredi.
Les thèmes sont à l’image du pèlerinage puisqu’il s’agit de revoir les thèmes des précédents pèlerinages. C’est donc un bon rappel pour ceux y participant régulièrement et une belle découverte pour les autres.
Pour consulter la dernière méditation, cliquez ici
Les deux seules conditions pour participer à ce pèlerinage St Joseph « ouvert à tous les papas » sont d’être père de famille et de vouloir vivre cette démarche chrétienne tout le week-end. Le chiffre des participants (mariés pour la plupart et dont un tiers est nouveau, un tiers revient tous les ans et un tiers participe de temps à autre), varie entre 30 et 60 suivant les années. Il y a des tout jeunes papas, et des grands-pères.
Pour connaître le programme, le tract est disponible ici
François Chasseriau
Le 14 février 2019
