L’affaire avait fait grand bruit à l’époque, mais avait été classée sans suite en 2002. Mgr Di Falco, depuis évêque, puis évêque émérite de Gap, n’avait plus été inquiété, pour des faits remontant à 1972/75. Mais sa victime présumée, lassée de le voir “toujours partout dans les médias” à décider d’assigner le prélat au civil.
Verdict le 12 mars.