Le 26 février, le Conseil de l’UE pour les Affaires étrangères et les relations internationales adoptait « ses priorités en 2018 dans les enceintes des Nations unies compétentes en matière de droits de l’homme ». Selon le journal catholique polonais Nasz Dziennik, certains paragraphes ont été supprimés et d’autres adoucis sous la pression de la Pologne et de la Hongrie. Il s’agit des paragraphes où il était question des « droits reproductifs » ou « droits génésiques », c’est-à-dire, en réalité de l’avortement, de la « contraception » d’urgence prise après un rapport sexuel et pouvant dans certains cas avoir un effet abortif, et de l’éducation sexuelle. Mais même dans leur forme définitive qui contiennent toujours la notion de reproductive rights dans la version en anglais (terme traduit cette fois par « droits en matière de procréation » dans la version en français), les priorités de l’UE pour 2018 ont fait l’objet d’une déclaration séparée de la Pologne et de la Hongrie, ces deux pays ne souhaitant pas s’associer à la promotion de l’avortement à l’ONU et se réservant la possibilité de donner à ces termes un sens compatible avec leur droit national.
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