Le pape François visitera en septembre la Lituanie, un pays consacré au Cœur immaculé de Marie : une messe solennelle de consécration a eu lieu le 11 février 2018, dans la cathédrale de la Visitation de la Bienheureuse Vierge Marie de la ville de Trakai, indique un communiqué de l’archidiocèse de Vilnius.
« Que la Bienheureuse Vierge Marie protège la Lituanie et qu’elle dirige chaque jour notre regard vers son fils, nous invitant à écouter ses paroles et à le suivre », ont ainsi prié les Lituaniens.
La consécration de la Lituanie à la Vierge Marie, expliquent les évêques lituaniens dans un communiqué, « est un acte de foi à travers lequel nous exprimons notre confiance en Marie, … nous renouvelons la foi exprimée par nos parents et nos ancêtres et nous rendons grâce parce que la Lituanie a été longtemps connue comme étant le Pays de Marie, ….nous confions à la protection de Marie le présent et l’avenir de la Lituanie. »
Les évêques encouragent les fidèles à « dire souvent » cette prière de consécration à la Vierge Marie pendant l’Année jubilaire de la Mère de Dieu de Trakai : « il y a trois siècles, sa représentation à Trakai a été couronnée et elle a été déclarée Patronne de la Lituanie par le pape Clément XI ».
Dans cette prière, il est dit que les catholiques confient à la Vierge « le désir de notre peuple de construire une société basée sur les valeurs chrétiennes, afin que la Lituanie puisse vivre dans la foi, l’espérance et l’amour ».
« À ta protection, dit encore le texte, nous confions les enfants,… les jeunes, … les époux, le labeur de ceux qui travaillent honnêtement,… la patience des personnes qui souffrent, des malades et des personnes âgées, afin que nous soyons poussés à accomplir des œuvres de miséricorde et à leur apporter une aide désintéressée. »
Le pape François visitera les pays baltes du 22 au 25 septembre 2018. Il sera à Vilnius et Kaunas, en Lituanie, les 22 et 23 septembre. Durant le voyage, le pape visitera aussi Riga et Aglona en Lettonie et Tallinn en Estonie. C’est à Vilnius qu’il logera.
Avec une traduction d’Hélène Ginabat
Source : Zenit.org