Nous ne sommes pas contre une éducation affective, relationnelle et sexuelle à l’école. Nous ne sommes pas non plus contre l’égalité entre les femmes et les hommes.
Mais l’affectivité n’est pas l’hyper sexualisation. Et l’égalité n’est pas l’indifférenciation des sexes.
Or, de plus en plus, l’Education nationale utilise des « études de genre » pour lutter contre les inégalités hommes-femmes. Et le résultat, c’est qu’au lieu de lutter contre ces inégalités, l’Education Nationale promeut l’indifférenciation sexuelle : il n’y a plus d’inégalité puisqu’il n’y a plus de différence !
S’il y a indifférenciation des sexes, si le genre n’est qu’une question de culture, alors on peut choisir son sexe. Pour les enfants scolarisés, on brouille donc les repères de base. Les enfants sont en train de bâtir leur personnalité. Ils sont fragiles et perméables aux enseignements qu’on leur donne.
Leur inculquer dès le plus jeune âge qu’être homme ou femme n’est que le résultat d’une culture et que l’on peut choisir, c’est mettre en danger leur construction. C’est un mensonge, mais c’est également un énorme danger pour les enfants.
Nous croyons fermement que les enfants n’ont pas à subir des expérimentations d’idéologues pendant la période cruciale de construction de leur personnalité. Il y a un véritable risque de déconstruction de leur personnalité.
C’est pourquoi nous voulons, par cette pétition et par notre bus, faire savoir à tous les parents d’élèves que l’identité des enfants n’est pas un jeu. Et que leur genre n’est pas un choix. On ne devient pas femme : on nait femme. On ne devient pas homme : on nait homme.
Il existe des données biologiques incompressibles et absolument vitales pour la construction de la personnalité de l’enfant.
Si nous ne luttons pas pour défendre cette vérité scientifique, les enfants seront tiraillés entre deux identités. Toute leur vie. Avec une multitude de drames et de déséquilibres personnels.
Nous n’avons pas le droit de nous taire. Nous n’avons pas d’autre choix que de nous lever pour dire « NON » aux idéologues qui jouent avec la santé mentale de nos enfants.
Il se trouve que Monsieur Jean-Michel Blanquer, l’actuel Ministre de l’Éducation nationale, est un homme de bonne volonté et que cette pétition lui est adressée. Il est probable qu’il souhaite lui aussi, débarrasser son ministère des dangereux idéologues qui s’y sont infiltrés ces dix dernières années.
Apportons-lui notre soutien, signons la pétition.