Depuis des années, nous semblons assister à la montée en puissance du mouvement LGBT, tout en constant un fossé entre l’immense majorité des homosexuels silencieux et cette nébuleuse activiste aux méthodes totalitaires.
Jouissant de gros moyens financiers, comme ceux de Pierre Berger ou de la Franc-maçonnerie assainissant le quartier du Marais pour en faire un foyer homosexuel, la LGBT s’est infiltrée, à tous les niveaux du pouvoir, en finançant les campagnes (cf la question épineuse du trésorier de campagne de François Hollande), en exerçant des pressions psychologiques dignes de Mao sur les élus du peuple et en plaçant les siens à la culture et dans la presse.
Toutefois, la duperie ne résiste jamais à l’épreuve du temps et dès qu’il s’agit de se compter et de trouver des soutiens, le ballon de baudruche se dégonfle et révèle sa vraie nature. Après Tetu, c’est au journal Yagg de mettre la clef sous la porte faute d’adhérents. Ceci à quelques jours de l’échec de la Gay Pride qui même en prenant les chiffres des organisateurs n’atteignait pas 20 000 participants.
LGBT qui tente d’imposer ses règles et son style de vie au monde entier (qu’on lise attentivement ce qui se passe à l’ONU ou avec le rapport In’t Veld en Europe, n’a aucun soutien populaire. C’est une vaste esbroufe qui se construit sur la peur, l’intimidation à coups de gros sous.
A ce rythme là, si les politiques proportionnaient leurs subventions aux adhérents, non seulement LGBT ne serait plus que les cendres d’un feu de paille, mais les mouvements catholiques, eux, feraient fortune, quoiqu’en disent les médias de la perte de vitalité de l’Eglise.