Lettre aux garçons avant indifférenciation

Lettre aux garçons avant indifférenciation

Dans la droite ligne de notre édito « cachez ces hommes que nous ne saurions voir » et de la lettre “sur la Brèche” de l’évêque de Phoenix, mais de façon plus polémiste, nous publions cette tribune, saillante d’actualité. (qui n’engage que son auteur … et les autres)

Avec Noël qui approche, les grandes centrales commerciales multiplient les initiatives afin de promouvoir l’indifférenciation des sexes : plus question pour certaines enseignes (Système U, Jouet Club…) de mettre en avant des garçons jouant aux camions et aux chevaliers et des petites filles jouant à la dinette ou aux poupées princesses.

Des initiatives dont se félicitent les féministes et les partisans de la destruction des repères élémentaires qui conduisent pourtant à une société équilibrée. « Les jouets non sexués finiront par prouver que filles et garçons ne sont pas si différents.» écrivait déjà, en 2012, la journaliste Hanna Rosin, pour Slate.

En réalité, ces initiatives sont essentiellement pilotées non pas pour « libérer» les petites filles (si ce n’est en réalité lui donner la possibilité de se retrouver plus tard, comme les hommes, à vendre son CV à un patron plus ou moins bien intentionné), mais bien contre la construction naturelle des garçons. « 9 idées de jeu pour aider les garçons à sortir des stéréotypes de virilité et de refoulement de leurs émotions » peut-on lire sur le site Apprendre à éduquer.

Ainsi, il faudrait absolument fabriquer des garçons dénués de toute virilité, de toute envie de se battre, de toute agressivité. Et à l’inverse, créer chez les jeunes filles un sentiment permanent de revanche à prendre sur les garçons, donc d’agressivité mal placée.

Le garçon, l’homme, ne doit plus se rêver guerrier, soldat, cow boy, chevalier, pirate, aventurier. Ou plutôt le petit garçon Européen bien entendu puisque les idéologues (blancs) de la destruction de l’identité sexuelle ne raisonnent que par leur petit prisme obtu et ultra minoritaire dans le monde.

Et cela bien que nous ne pesions rien face aux milliards d’individus qui continuent et continueront à se reproduire, à éduquer, et à grandir selon les lois naturelles. Sans se soucier de quelques apprentis Frankenstein qui ne tiendraient pas longtemps en place dans la plupart des pays du globe …

Le résultat, non pas uniquement de ces campagnes infamantes sur le prétendu « sexime des jouets » , mais d’une éducation tendant vers l’indifférenciation des sexes, on le retrouve déjà dans les cours de récréation et dans la rue ; des jeunes hommes de plus en plus féminisés (les fameux « plumeaux ») qui ressemblent de moins en moins à des hommes, des personnels enseignants et éducatifs qui sanctionnent lourdement les bagarres, les défis entre gamins dans les cours de récréation, des parents d’élèves qui expliquent à leurs enfants qu’en cas d’agression, il faut aller se plaindre plutôt que d’apprendre à se défendre …

L’homme (et particulièrement l’homme blanc) ne doit plus être un protecteur pour la femme, il doit refouler son instinct animal au plus profond de lui, tel est le message quotidiennement répandu, de manière subliminale ou non.

Mais jouer à la poupée n’arrête pas (et n’arrêtera pas) les balles. Ces jeunes garçons à qui, aujourd’hui, on veut enlever le droit d’être des chevaliers servants, des pirates, des soldats, ne seront pas demain ou dans vingt ans, des guerriers et des individus capables de faire face aux grandes menaces qui pèseront sur eux durant ce 21ème siècle.

Ces hommes à qui on explique durant leur enfance et leur adolescence qu’il ne faut pas répondre si on les agresse (et qu’on risque même la prison, plus tard, à l’âge adulte, si la situation se produit), que les armes à feu sont des objets diaboliques, qu’ils doivent refouler leur virilité, qu’ils doivent s’identifier à Magloire ou à Hanouna plutôt qu’à Rambo ou à Attila, alors ces hommes ne pourront pas répondre lorsque des islamistes formés et déterminés mettront à feu et à sang leurs villes.

Lorsque des barbares viendront s’emparer de leurs terres et de leurs femmes (qu’ils voient eux toujours comme des femmes, fragiles et pour le coup sans protecteur).

On en voit déjà les prémices, lors de ces agressions dans les transports en commun, où tout le monde baisse les yeux, se renie, se montre incapable de dompter une peur tout à fait normale par ailleurs.

En cas d’attentat, ces individus indifférenciés se contenteront de mettre qu’ils sont « en lieu sûr » via leur smartphone, après avoir, pour fuir, écrasé les cadavres ensanglantés jonchant les routes.

Ils auront en effet suivi à la lettre les conseils de gouvernants qui expliquent que pour sa sécurité, il faut fuir ! Incapables de comprendre ce qui leur arrive, incapable de penser que durant des siècles, leurs ainés agissaient différemment pour le bien commun.

Vu comme cela, on se rend compte à quel point vouloir que les garçons jouent à la poupée et fassent le ménage n’est pas aussi anodin que cela en a l’air.

Apprendre à son fils à jouer à la poupée ou à la dinette aujourd’hui, lui expliquer que c’est normal de s’habiller en rose (et pourquoi pas mettre du rouge à lèvres ?) cela revient simplement à lui donner une capsule de cyanure à consommer plus tard .

Car il y a de par le monde, des masses d’individus, qui n’ont ni envie de jouer à la poupée avec nos filles, ni envie de jouer aux billes avec nos garçons. De la conquête dans l’histoire du monde …

Qu’on rassure ceux des nôtres à qui l’on a désappris la souffrance, avec le cyanure, ils n’auront pas le temps de se rendre compte qu’ils sont morts. Merci papa, merci maman, merci les féministes, merci Marlène, et tous(t.e.s.L.G.B.T.I.I.I inclusivité oblige c’est ça ?..) les autres !

Espérons que tout cela ne soit qu’un cauchemar et que les garçons de Bretagne, de France et d’Europe se réveillent enfin !

Julien Dir

 

Source Breizh-info

 

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