Benoît XVI avait rappelé qu’à côté du « droit à immigrer », il y avait le droit des Etats « de réglementer les flux migratoires et défendre leurs frontières ». Saint Jean-Paul II avait, en 1980, appelé devant l’UNESCO à tout faire pour protéger « cette souveraineté fondamentale que possède chaque Nation en vertu de sa propre culture ». François, quant à lui, est le pape de l’immigration, de « l’accueil » indiscriminé de tous, réfugiés et immigrants économiques, et de la promotion du multiculturalisme. Et cela se reflète dans les positions adoptées par l’Église italienne.
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