Au Canada, des chercheurs ont publié une étude dans le Journal de l’Association médicale canadienne, dans laquelle ils font des recommandations à l’attention des médecins sur la « réduction embryonnaire », le fait de « faire passer le nombre de fœtus que porte une femme enceinte de trois à deux ou de quatre à deux ou encore de deux à un ». Ils assurent que « supprimer des embryons au cours d’une grossesse multiple » entraine pour les embryons qui en réchappent une meilleure santé.
Toutefois, les chercheurs ont reconnu que si « réduction embryonnaire » facilite le travail du médecin, les parents peuvent eux « être hantés par leur décision », « se sentir endeuillés », « éprouver de la culpabilité ou des regrets » : « On perd dans les faits un bébé ».
Source Genethique.org