Un enseignement en trois parties :
Première partie : la prière du coeur
Le Nouveau Testament nous invite en plusieurs passages à la prière incessante, qu’on peut aussi appeler la prière du cœur. A titre d’exemples, nous pouvons citer deux géants de la charité: l’abbé Pierre et sœur Emmanuelle du Caire. LIRE LA SUITE
Deuxième partie : le précepte et ses déviances
Au chapitre 18 de saint Luc, Jésus donne une parabole sur la nécessité de prier sans cesse sans jamais se décourager: la parabole de la veuve et du juge inique. “Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et n’avait de considération pour personne…”. Dans ce passage, la prière est mise en lien avec la foi. Il s’agit de ne jamais se décourager, d’insister et d’être même importun. Cette persévérance et cette obstination envers et contre tout dans la prière est fondée sur la foi en un Dieu qui aime et qui fait justice. LIRE LA SUITE
Troisième partie : une voie vers la prière incessante
Mais comment maintenir une prière continuelle dans nos multiples activités? Et d’abord combien de temps devons-nous explicitement accorder à la prière actuelle dans nos journées? En soi, la prière habituelle devrait être constante, jour et nuit. C’est le but vers lequel il nous faut tendre. Mais la prière au sens courant de prière actuelle (réciter le chapelet, adorer le Saint-Sacrement, faire l’oraison mentale ou vocale…) ne peut se faire qu’à des moments limités et déterminés. LIRE LA SUITE