Un signe d’espérance pour les jeunes d’aujourd’hui souvent confrontés aux drogues, à l’alcool et autres addictions.
Un témoignage aussi de soutien pour leur entourage.
“Nous sommes tellement importants aux yeux de Dieu ! » Sœur Elvira
La communauté du Cenacolo, une véritable “école de vie”, sera à Marseille pour deux veillées :
- le jeudi 22 novembre à 20h30 à l’église de Notre-Dame du Mont
- le vendredi 23 novembre à 20h30 à l’église de la Valentine
Venez nombreux et invitez des amis
LE CENACOLO : UNE REPONSE AU MAL-ETRE DE NOMBREUX JEUNES
Le Cenacolo est né en Italie près de Turin en 1983. Il a été fondé par une religieuse, Sœur Elvira, en réponse au mal-être de nombreux jeunes, perdus dans le monde des addictions et souvent marginalisés.Dans un accueil gratuit et une éducation exigeante, le Cenacolo propose un style de vie communautaire simple et familial : l’amitié sincère comme fondement des rapports humains et de la fraternité, la redécouverte du travail vécu comme don et engagement pour mûrir dans les responsabilités de la vie, la prière et la foi en Jésus-Christ comme réponse au besoin infini qui habite le cœur humain. Les personnes accueillies au Cenacolo peuvent se sentir chez elles et retrouver leur dignité, la joie de vivre.Un chemin est aussi proposé parallèlement aux familles des personnes accueillies.Le Cenacolo est présent dans de nombreux pays avec plus de 60 “fraternités”.
Le 15 juin 2015, le Cenacolo a été reconnu définitivement par l’Eglise catholique comme Association internationale de fidèles de droit pontifical.
LE CENACOLO en France : trois fraternités pour les hommes :une à Lourdes, une près de Lille et une près de Lyon, ainsi que deux pour les femmes près de Lourdes.
LA FONDATRICE, Rita Agnese Petrozzi, connue sous le nom de Sœur Elvira, est née en Italie en 1937. Religieuse de la charité de Sainte Jeanne-Antide Thouret, elle voit son désir grandir de fonder une œuvre pour les jeunes désespérés en recherche du sens de leur vie. Durant de longues années, ses supérieures lui demandent de renoncer à ce projet, pour lequel elle n’a pas de compétence. Dans la confiance et l’obéissance, elle obtient finalement leur permission, en 1983, de commencer son projet : le Cenacolo est né.Les premiers accueillis au Cenacolo sont de jeunes toxicomanes, affamés d’autre chose. Sœur Elvira se souvient : “C’étaient des jeunes avec des yeux éteints et avec la mort dans le cœur, qui me demandaient non des médicaments, mais la joie de vivre !” Sœur Elvira consciente “qu’une thérapie uniquement humaine n’aurait pas rassasié leur cœur”, décide de recourir à la prière pour raviver en eux l’espérance. Malgré les premiers pas incertains et les erreurs inévitables, elle ne baisse pas les bras, intimement convaincue que “les œuvres de Dieu naissent dans le silence et ne font pas de bruit ».
“La charité, c’est ma vie, c’est le don de moi-même, le don de ma joie pour un ‘oui’ à Dieu de plus en plus vrai et passionné”
“Le premier métier que les jeunes doivent apprendre est celui de vivre. » Sœur Elvira
“L’amité se construit sur les choses simples, petites, parfois cachées aux yeux des autres mais qui font du bien au cœur.”