75 000 personnes ont disparues en Syrie depuis le début de la guerre en 2011, selon le Réseau syrien des droits de l’Homme. C’est ce que dénonce Amnesty International à l’occasion de la journée internationale des victimes de disparitions forcées.
L’ONG souhaite que le gouvernement et les groupes armés impliqués dans le conflit révèlent le sort reservé aux dizaines de milliers de victimes.
Nina Walch, coordinatrice crises et conflits armés à Amnesty International, explique l’ampleur de ce phénomène en Syrie.
A écouter ici