Le 14 février prochain, le Sénat doit se prononcer sur une proposition de loi qui aggrave considérablement le champ d’application du délit d’entrave à l’IVG (2 ans de prison et 30 000 € d’amende).
La version actuelle du texte qui sera présentée au vote des sénateurs porte une atteinte redoutable à la liberté d’expression et à la liberté d’informationdes femmes sur « les caractéristiques et les conséquences médicales » d’une IVG.
|