Après les cocus du Trocadéro, le revers de main hautain ne réservant rien à l’artisan, du moins consacré tel, de la victoire de la primaire, comme au PCD, après le soufflet à Charles Millon écho du premier soufflet à l’Avant-garde considérée comme quantité négligeable, après la campagne de diabolisation du “trop chrétien” candidat Fillon et ses sulfureux cathos de tendance dure, voici qu’explicitement le “très catho” (entité en soi) est montré du doigt et l’équipe Fillon priée de s’en débarrasser.
Ainsi le jeune Samuel Lafont connu pour les 7 coups de couteaux reçus pendant les manifs de 2013 (on notera le bel acharnement ! ) est à son tour l’objet d’une campagne anti catho sur les réseaux. (voir le point fait ici)
Décidément, que ce soit le système anti-Fillon ou Fillon lui-même, les cathos sont les indésirables de cette campagne.
A mon sens ce serait plutôt un sujet d’espérance avec une question : en quoi donc ces cathos ringards et moribonds (enfin c’est ce qu’on se tue à nous dire en tout cas) peuvent ils représenter à ce point un danger ?