“Puisque le mot de la loi a une force performative, tout ce qui est formulé par la loi s’impose d’abord comme une évidence, puis comme quelque chose de normal, puis, enfin, comme un « droit fondamental ». La loi Veil est le paradigme de cette dérive. C’est ainsi que la normalisation de la transgression devient le principe et la finalité de ce qu’on appelle « bioéthique ». La bioéthique se retourne contre l’éthique”
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