Après une longue bataille juridique, un couple de cinquantenaires israéliens a obtenu l’autorisation de procéder à un prélèvement de sperme posthume sur leur fils décédé dans un accident de voiture à l’âge de 25 ans. Ils voulaient ainsi lui « offrir » une descendance, car lui-même souhaitait « fonder une famille» (cf. Prélèvement de sperme posthume : la justice israélienne doit trancher). Au-delà du prélèvement de sperme posthume, la justice permet au couple d’élever l’enfant, qui sera conçu grâce au sperme du défunt fils et d’ovocytes achetés (cf. Prélever des ovocytes pour une “maternité posthume” ?).