S’il est un point de traduction qui pose problème c’est bien la sixième demande du Notre Père, traduite de façon ambiguë depuis près d’un demi siècle.
La Belgique a validé la modification. Désormais les Belges ne prieront plus Dieu de ne pas les soumettre à la tentation, mais plus justement de ne pas nous laisser entrer en tentation.
L’entrée en vigueur de la nouvelle traduction se fera pour la Pentecôte.
Sur ce point délicat on pourra lire le commentaire étymologique de François Thelamon.
Pour la France, il faudra attendre le premier dimanche de l’Avent