La notion de délit d’entrave numérique qui vise à faire taire ceux qui ne sont pas d’accord avec la doxa du gouvernement en matière d’IVG a des conséquences bien plus lourdes puisqu’il s’agit tout simplement d’un acte totalitaire de censure.
Après 10 minutes, la commission de l’Assemblée Nationale chargée du dossier a dû être interrompue, par une réaction un peu vive et un rien impulsive de la présidente Catherine Lemorton qui perdait la main sur un sujet des plus contestés et contestable.
Alliance Vita pour sa part lance une pétition pour lutter contre cette avancée totalitaire lourde de conséquences pour l’avenir.
Au-delà des effets sur la lutte cotre l’avortement, il faut voir le danger que représente ce pas supplémentaire contre la démocratie.